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L’école est finie ! Comme chaque été, Guy Noves accueille une soixantaine d’enfants sur ses stages de rugby au sein des les centres de loisirs Chic Planet’ Kids. Mais que se passe-t-il vraiment au sein des stages vacances Rugby Guy Noves ? Et puis, au fait, c’est qui Guy Noves ?
Les stages sportifs Rugby Guy Noves permettent aux enfants ou adolescents de découvrir ou de se perfectionner en rugby pendant les vacances scolaires avec le plus grand entraineur que le rugby Français est connu.
Guy Novès, né le 5 février 1954 à Toulouse, est un joueur de rugby à XV, ailier gauche, entraîneur puis manager du Stade toulousain, et sélectionneur de l’équipe de France de rugby à XV. Avec dix titres de champion de France et quatre titres de champion d’Europe, il est l’entraîneur français le plus titré.
En 2005, il reçoit le Trophée du Tankard de la presse britannique spécialisée (réunie au sein du Rugby Union Writers Club depuis 1961) du meilleur entraîneur européen et en 2006, est nommé Chevalier de la Légion d’honneur. En 2010, à l’occasion des quinze ans de l’ERC, il se voit décerner le prix du meilleur entraîneur européen des quinze dernières années par l’ERC.
En août 2011, il décline la proposition de sélectionneur de l’équipe de France. Trop attaché au club de son cœur et concentré sur les projets en cours dont il souhaite voir les fruits, il choisit de rester manager général du Stade toulousain. En 2015, il accepte finalement le poste de sélectionneur, succédant ainsi à Philippe Saint-André après la Coupe du monde. Il est finalement limogé deux ans plus tard par le nouveau président de la Fédération française de rugby, Bernard Laporte, à la suite des mauvais résultats du XV de France.
Né en 1954, Guy Novès pratique tout d’abord le foot, puis la natation avant de se lancer dans l’athlétisme. Il est recordman de France cadet du 1 200 mètres, avant de passer au rugby à 20 ans. Il passe toute sa carrière dans le club du Stade toulousain.
Fils d’un ouvrier, petit-fils d’un chiffonnier, républicain espagnol réfugié, il assume ses idées de droite. « Je suis pour reconnaître ceux qui travaillent. Je n’avais rien ; j’ai ramassé des cartons pour gagner de l’argent. Ma femme est anesthésiste, onze ans d’études, elle a sacrifié sa jeunesse. Pendant ce temps, certaines prenaient du bon temps, fumaient des joints. À Noël, cette année, elle a passé des nuits blanches au bloc opératoire. Je veux dire qu’aujourd’hui, il me semble que la droite met plus en valeur l’importance du travail. »
Dans la vie privée, il préserve son jardin secret. Père de deux filles (Valérie et Julie) et beau-père d’un garçon (Vincent Terrail-Novès, maire de Balma, vice-président de Toulouse Métropole et conseiller régional d’Occitanie), il se ressource à Leucate, siège de ses vacances d’enfant où il a ses attaches. Ancien pratiquant d’athlétisme, il a continué le sport à la fin de sa carrière, gardant une allure de sportif.
Depuis le 2 janvier 2011, il est aussi grand-père d’une petite Éloïse. L’information a amplement été relayée lorsqu’il a fait sortir du terrain son gendre Vincent Clerc d’un Toulouse-Castres. Cette sortie sans raison apparente, ni blessure, ni mauvaise performance, fut donnée à la fin du match : sa femme venait d’entrer en salle d’accouchement. Guy l’explique en ces termes : « Dans la vie, certaines choses sont bien plus importantes qu’un match de rugby. Là, c’était Vincent, mais si la situation s’était présentée avec un autre joueur, j’aurais agi de la même façon. C’est un fait de vie. Ce sont des choses simples ».
Avant de débuter au rugby, Guy Novès pratique l’athlétisme à haut niveau. Il détient toujours le record du 1 200 mètres cadet avec 3 min 16 s 04, réalisé le 4 juillet 1971. Ce record n’est pas près d’être battu, la distance n’étant plus courue. Il n’entretient alors qu’un rapport lointain avec le rugby puisque son frère Jean-Claude jouait ailier à Mauvezin, en deuxième division. Puis, alors qu’il prépare le concours d’entrée au CREPS de Toulouse, la section rugby du TCMS (club des Cheminots de Toulouse, où il était licencié en athlétisme) recherche un ailier pour un déplacement à Quillan. Ce jour-là, il inscrit plusieurs essais. Alors, comme il n’y a pas d’option athlétisme au Creps, il signe sa première licence au Stade toulousain. Le jour du concours d’entrée au CREPS, il n’obtient d’ailleurs qu’un 6/20 en rugby. La note ne l’empêche pas de finalement terminer major de promotion.
À partir de ses premiers pas au Stade toulousain, la progression de Novès est aussi immédiate que foudroyante. Dès le mois de novembre 1975, les blessures obligent Jean Gajan (père de Christian) à le convoquer pour un match de challenge Yves du Manoir à Grenoble. Ce jour-là, le pendant de Novès à l’aile gauche du FCG se nommait alors Jean-Pierre Clerc, père de son futur beau-fils Vincent Clerc…
Une première saison difficile en équipe première, au point que le Stade toulousain termine la saison en perdant son match du maintien à Valence, se trouvant seulement sauvé de la relégation par un match nul réussi par l’USAP à Tulle.
Guy Novès entre Pierre Villepreux et Jean-Claude Skrela qui l’entraînent de 1983 à 1988.
Malgré des premiers rendez-vous manqués en bleu (il rate le grand chelem 1977 en raison d’une entorse de la cheville, avant de subir en juin une blessure qui le prive de tests en Argentine), il finit par connaître au mois de novembre de la même année la consécration suprême, avec une victoire sur les Blacks à Toulouse, sous les yeux de sa famille (18-13). La première cape d’une courte série de sept, achevée sur un coup de tête. Blessé lors d’un France-Pays de Galles en 1979, Novès annonçait dans la foulée au staff des Bleus qu’il ne pouvait pas postuler au déplacement en Angleterre. Félicité pour son honnêteté, Novès ne fut pour autant jamais rappelé.
En 1985, le Stade toulousain est champion de France face à Toulon, c’est le premier titre toulousain depuis 38 ans, brisant l’hégémonie biterroise. Champion une nouvelle fois en 1986 face à Agen, il met un terme définitif à sa carrière deux ans plus tard en remportant le Challenge Yves du Manoir, alors qu’il vient de démarrer en parallèle une carrière d’entraîneur avec les Reichel du Stade, eux-mêmes sacrés champions de France.
Guy Novès a ainsi porté durant treize saisons le maillot de la ville rose entre 1975 et 1988. Il conquiert deux titres de champion de France en 1985 et 1986. Il complète son palmarès avec un Challenge Yves du Manoir en 1988.
Ailier gauche, il accomplit la deuxième moitié de sa carrière sous la férule du duo d’entraîneurs Villepreux-Skrela. Adeptes d’un jeu de mouvement, ils inculquent un style au club, fait de conquête et de jeu de passes ; ce jeu, Guy Novès va l’apprendre, l’apprécier et en faire siens les principes.
Le style de jeu initié par ses prédécesseurs est repris par Guy Novès. Il va donner à Toulouse le plus beau palmarès du rugby à XV français en 2010. Sa carrière d’entraîneur débute en 1989. En quelques années, il donne l’impression d’une continuité dans le changement.
Il est professeur d’EPS pendant plus de vingt ans au collège de Pibrac, remportant six titres de champion de France scolaires avec l’équipe de l’établissement. Il a d’ailleurs eu comme élèves David Skrela et Grégory Morales, qui ont joué sous ses ordres au Stade toulousain.
En 1988, tout frais champion de France aux commandes des Reichel du Stade toulousain, Guy Novès est très vite appelé par le président Jean Fabre pour intégrer le staff de l’équipe première aux côtés du légendaire duo Skrela-Villepreux. Mais rien ne se passe comme prévu. Pensant avoir été choisi pour ses compétences, il comprend très vite qu’il est d’abord là pour jouer le rôle de tampon entre le duo et les joueurs, avec qui Skrela et Villepreux connaissaient quelques problèmes relationnels. Une souffrance rentrée, quelque peu compensée par un premier « vrai » titre d’entraîneur en 1989, une nouvelle fois obtenu face à Toulon. Insuffisant toutefois pour gagner totalement la confiance du duo Villepreux-Skrela, qui souhaite une nouvelle fois l’écarter. Mais Jean Fabre persiste, jusqu’à ce qu’une défaite en demi-finale, à l’issue de la saison, mette le feu aux poudres. Alors que Guy Novès s’était vu promettre deux ans plus tôt que Christian Gajan (son binôme avec les Reichel) lui serait adjoint en équipe première, c’est l’inverse qu’on lui propose, à savoir de redescendre en espoirs… La goutte d’eau de trop pour Novès qui, écœuré, se décida à claquer la porte de son club de toujours. D’abord pour s’occuper exclusivement de son collège de Pibrac, où il crée l’AS Rugby, puis au club de Blagnac, qu’il rejoint à l’été 1991. Son unique incartade, d’une petite saison…
Guy Novès est rappelé un soir de 1993 par Jean-René Bouscatel pour redevenir entraîneur. Serge Laïrle le rejoint comme coentraîneur. Lors de sa prise de fonction, il débute en même temps que son président, Jean-René Bouscatel. Confronté à des joueurs qu’il côtoyait sur le terrain quelques mois auparavant, une fronde tente de faire de son inexpérience une autogestion collective de l’équipe. Il laisse faire un temps avant de recevoir le soutien de son président. Il le raconte en ces mots : « J’ai laissé faire et attendu que ça passe. Le club était fragile — 1,5 million d’euros de déficit, deux fois son budget de l’époque —, le président René Bouscatel venait d’arriver et il y avait des failles à exploiter. Certains joueurs ont voulu en profiter. » Durant quatre ans, leur collaboration est pour le moins efficace avec quatre titres de champion de France, le challenge Yves du Manoir 1995 et la première coupe d’Europe en 1996. Le départ de Serge Laïrle va entraîner une montée en puissance de l’influence de Guy Novès sur le club. La fin de carrière d’Albert Cigagna laissait entrevoir aux supporters l’entrée du capitaine emblématique dans l’encadrement technique ; il n’en sera rien et l’entraîneur mène seul sa barque à la tête d’une génération de joueurs d’exception. Son omnipotence va faire quitter le club à quelques joueurs emblématiques avec qui Novès ne souhaitait pas partager la vedette ; Christian Califano part en Nouvelle-Zélande, Christophe Deylaud à Agen, Stéphane Ougier arrête sa carrière. Il se murmure que l’éminence grise de Jean-René Bouscatel a pris les rênes sportives du club, sans envie de les partager.
En 2001, il quitte son poste de professeur d’EPS (qu’il détenait depuis 1978) pour se consacrer entièrement à son poste d’entraîneur. Il s’entoure d’une équipe d’une dizaine de personnes et prend pour adjoint Philippe Rougé-Thomas en 2000, puis retrouve Serge Laïrle en 2002, remplacé par Yannick Bru en juin 2007. Guy Novès choisit des hommes du club ; formés par lui, ils sont parfaitement rodés aux exigences du maître à jouer et leur complémentarité donne des résultats tangibles. Rougé-Thomas dit de lui : « Il est comme un grand frère. Je suis un privilégié de me trouver à ses côtés. Nous avons une confiance mutuelle. Quand ça ne va pas, il sait me recadrer. Honnête, droit et exigeant, quant au jeu pratiqué et aux résultats, c’est un grand compétiteur qui ne lâche rien. ». À partir de la saison 2010-2011, Guy Novès prend pour adjoint l’ancien demi de mêlée Jean-Baptiste Élissalde pour entraîner les lignes arrières, Rougé-Thomas devenant directeur du centre de formation du Stade toulousain. En 2012, alors que Yannick Bru quitte le club toulousain pour rejoindre le staff du XV de France, il choisit William Servat comme adjoint, chargé de l’entraînement des avants.
Homme de terrain, il assiste aux matchs de son club au bord de la touche, laissant à un de ses adjoints le rôle d’observer du haut des tribunes le mouvement dans son ensemble. Souvent accroupi, le plus près possible de la ligne de touche, il ne laisse à personne le soin de donner les dernières consignes au joueur qui doit entrer en cours de jeu. Entraîneur qui a fait passer au Stade toulousain le cap du professionnalisme, Guy Novès a parfaitement assimilé la pratique du coaching qu’il maîtrise très bien.
En 2011, Pierre Camou, préparant la succession de Marc Lièvremont à la tête de l’équipe de France, a proposé le poste à Guy Novès. Ce dernier a refusé. Il n’aurait pu occuper cette fonction sans dépouiller l’encadrement de Toulouse : « Je ne peux travailler qu’avec des gens de confiance. Cela voulait donc dire partir avec pas mal de mecs de chez moi, notamment Yannick Bru et Jean-Baptiste Élissalde. » Le côté familial a aussi compté, son père âgé souhaitant qu’il reste à Toulouse.
Cependant en avril 2015, à la suite de l’appel à candidature de la FFR pour le poste de sélectionneur du XV de France, il envoie son dossier pour obtenir ce poste. Le 31 mai 2015, la FFR annonce officiellement qu’il sera le prochain sélectionneur succédant à Philippe Saint-André après la Coupe du monde en Angleterre. Il sera accompagné de Yannick Bru, déjà en place, et de Jeff Dubois, entraîneur des trois-quarts du Stade français et, comme Bru, ancien joueur du Stade toulousain.
Il choisit comme capitaine Guilhem Guirado. Il sélectionne des joueurs relativement jeune à l’occasion de ses premières sorties lors du Tournoi des Six Nations 2016, et commence son mandat par deux victoires face à l’Italie (23-21) et l’Irlande (10-9), que l’équipe de France n’avait plus battue depuis 5 ans.
Le 27 décembre 2017, le président de la Fédération française de rugby, Bernard Laporte, annonce que Guy Novès et son staff sont limogés à la suite des mauvais résultats du XV de France (en vingt-et-un matchs, 7 victoires, un match nul et 13 défaites). Il est remplacé par Jacques Brunel. Le limogeage de Guy Novès constitue par ailleurs une première historique pour le XV de France : jamais un sélectionneur n’avait été limogé jusqu’alors en cours de mandat. Le 29 décembre 2017, il annonce qu’il conteste la légalité de sa procédure de licenciement pour faute grave. Il affirme que « cette rupture brutale est intervenue sans procédure préalable, c’est-à-dire en violation des droits et garanties essentielles prévues par la loi ». Le 8 avril 2019, le conseil de prud’hommes de Toulouse condamne la Fédération française à verser 1,008 million d’euros à Guy Novès, essentiellement pour rupture de son contrat à durée déterminée sans faute grave.
En février 2013, Guy Novès a atteint, lors du match Toulouse-Perpignan, son millième match toutes compétitions confondues depuis un Grenoble-Toulouse du 9 novembre 1975.
En tant que joueur, il a participé à 259 matchs sur 13 saisons (167 victoires, 13 nuls, 79 défaites et 83 essais).
En tant qu’entraineur, il a géré 741 matchs sur 22 saisons (535 victoires, 17 nuls, 188 défaites). Ces rencontres concernent le championnat de France, la Coupe d’Europe et le challenge du Manoir. Cet évènement unique en rugby toutes nations confondues a conduit Guy à écrire un livre mémoire de ces 1000 matchs. Il n’existe qu’un autre exemple de longévité à si haut niveau, celle du footballeur Alex Ferguson à Manchester United.
7 sélections en Équipe de France de rugby à XV, de 1977 (après le Grand chelem) à 1979
À l’issue de la saison 2014-2015, il a coaché 819 fois les rouges et noirs en match officiel (579 victoires, 19 nuls, 221 défaites)
Qui encadre les stages de Rugby Guy Noves :
Soit 1 taux moyen d’un adulte pour 8 enfants sur chacune de nos structures de vacances.
Les inspections des services de l’État sont fréquentes : on vérifie la conformité des locaux, le bon fonctionnement des frigos, on contrôle les projets pédagogiques et le registre du personnel, on compte le nombre d’enfants… Les structures qui n’ouvrent que l’été, moins connues des services concernés, font l’objet d’attentions particulières.
Pour les parents, c’est une solution hyper pratique, puisqu’on peut inscrire ses enfants ou ados « à la journée » ou « à la semaine ». D’autant plus que les tarifs sont souvent très intéressants par rapports aux activités proposées, qui sont variées et encadrées par un personnel diplômé et sélectionné avec soin.
De plus les activités proposées par Chic Planet Kids sont vraiment très différentes des activités que vous retrouverez sur le centre de loisirs municipal. Qui ne proposera souvent que des activités à majorité artistiques ou culturelles. Alors que Chic Planet’ Kids vous proposera des activités innovantes, sportives et culinaires ou scientifiques.
Pour les jeunes, fréquenter un centre aéré offre de nombreux avantages. En effet, ils apprendront « le vivre ensemble » et à pratiquer des activités innovantes ! Votre loulou pourra y découvrir de nouvelles activités sportives, faire des sorties avec ses copains, pratiquer des scientifiques ou culinaires. De plus, c’est régulièrement au sein des Accueils Collectifs de Mineurs que les bambins se lient d’amitié et partagent des passions. Attention, tous les enfants ne sont pas réceptifs aux activités proposées par les centres de loisirs, car ils restent souvent sur une mauvaise expérience vécue en centre de loisirs municipal.
Ages : 8 à 14 ans.
Activités : Rugby
Inscriptions : A la semaine.
Lieux : Pibrac
Encadrement : 1 animateur pour 10 enfants maximum
Repas : Compris
Goûters : Compris (sauf vendredi, grand goûter amené par les familles)
Spécificité : Tous les vendredi après-midi un grand jeu est proposé par l’équipe d’animation, suivi du grand goûter de fin de semaine (Des fruits, gâteaux, bonbons ou boissons amené par chaque parent et mis en commun pour fêter la fin de la semaine de vacances).
Spécificité : la tenue du stage est offerte à chaque enfant, ainsi qu’un poster avec Guy Noves et votre enfant.
Programme détaillé : A découvrir le premier jour sur place
Le développement des habiletés motrices se fait avant l’âge de 11 ans d’où l’importance pour votre enfant de tester une multitude d’activités afin de perfectionner sa motricité fine dans le temps et dans l’espace.
Vous souhaitez être tenus au courant des actualités Chic’ Planet, des nouveaux stages et activités proposés pour vos enfants et adolescents près de Toulouse et dans le Sud de France ?
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